[DIGITAL Business Africa] – C’est acté ! Le ministère de la Communication, de l’Économie numérique et de la Digitalisation de l’Administration, Dr Michel Boukar, et le Camerounais Armand Claude Abanda, titulaire de la Chaire Unesco d’Afrique centrale Access TIC, ont signé une convention, ce 16 août 2024. Armand Claude Abanda espère que les deux partenaires sont tournés vers « un avenir numérique prometteur ».
Cette initiative contribuera à créer des conditions nécessaires pour permettre aux jeunes et aux femmes d’être de véritables créateurs de richesses, gage d’une accélération de l’autonomisation des femmes et des jeunes, rapportait le ministère des Télécommunications, de l’Economie numérique et de la Digitalisation de l’Administration sur sa page Facebook après l’audience accordée aux visiteurs par le Premier Allah-Maye Halina il y a quelques jours.
Pour rappel, une délégation de la Chaire Unesco d’Afrique centrale Acces TIC, conduite par Armand Claude Abanda, était à la primature, le 07 août 2024. Elle a échangé avec le Premier ministre, chef du gouvernement, Allah-Maye Halina. Aux côtés du Premier ministre, Allah-Maye Halina, le ministre des Télécommunications, de l’Économie numérique et de la Digitalisation de l’Administration, Dr Michel Boukar et quelques membres de son cabinet.
À propos de la Chaire Unesco Afrique centrale Accès-TIC
La Chaire Unesco Afrique centrale Accès-TIC est un partenariat stratégique et institutionnel pour l’accès des jeunes et des femmes aux TIC en Afrique centrale. L’initiative a pour objectif de promouvoir un système intégré de recherche, d’enseignement, de formation ainsi que l’engagement de la collectivité en matière de l’accès aux TIC pour une plus grande autonomisation des jeunes et des femmes.
En date du 18 avril 2023, l’Unesco a confié à la Chaire Unesco d’Afrique centrale Access-TIC, la mission de promouvoir la collaboration internationale par l’éducation, la science et la culture, y compris la coopération entre universités pour la promotion de la solidarité intellectuelle et morale. Elle développe de ce fait des compétences numériques devant contribuer au développement socio-économique durable dans plusieurs domaines de la vie socio-économique des États de la sous-région.
Par Jean Materne Zambo